Cette petite cité balnéaire a tendance à être populaire auprès des Malaisiens (la frontière la plus proche est à moins de 80km). On vient s’y prendre en photo devant la célèbre (localement) sculpture d’une sirène.
Pour notre part, nous y venions surtout pour visiter l’île de Ko Yo, une île formée par une mer intérieure (la même que celle présente à Phatthalung, la province voisine) dont ces habitants vivent essentiellement de la pêche.