Cette nuit à Yogyakarta était une étape d’où nous ne savions pas trop comment nous organiser. Hésitant notamment à pousser notre visite jusqu’à la capitale, Jakarta, c’est après une discussion avec le propriétaire qui comme je le disais précédemment parle bien anglais, que nous avons pu nous décider sur la suite du programme.
Le choix fut donc fait de partir sur Borobudur, ce jour. Juste le temps de faire une petite promenade via un rickshaw (pousse pousse)
Nous voilà donc dans les petites ruelles de Yogyakarta. Dans le quartier routard.
De nuit quand on connaît pas ça peut être déroutant, pour ça c’était bien d’avoir eu un « guide » provisoire la veille.
Un salut de la main (qui seront nombreux par la suite).
Ça c’est de la pose photogénique.
Cherche à faire le beau gosse.
Y’a aussi de sacré « gueule » mais sur les anciens ce fût presque impossible d’obtenir un sourire quand c’était pas des refus, comme quoi, les générations changent…
Une petite pause thé, c’est possible.
Les ruelles précédentes donnent sur cette rue principale.
Ce que je pensais être un « attrape touriste » est en fait bel et bien un type de transport local (sur Java du moins)
La pub et les enseignes écrites en gros règnent en maître.
Scène de vie près d’un marché local.
Le parking pour moto est archi plein.
Comme à notre habitude on s’enfonce dans les petites rues où l’on ne croise aucun touristes (déjà qu’il n’y en a pas tant que ça, Avril étant la basse saison ici apparement)
Voilà le genre de situation typique en Indonésie, encore parfois « timide » à l’idée de prendre des gens en portrait (qui n’est pas mon “domaine” de prédilection en matière de photographie), ce sera le monsieur lui même qui me demandera de le prendre (oui comme ça, en mode « naturel » sans regarder l’objectif), je lui montrais la photo en retour et ça leur suffit pour égayer leur journée et nous offrir un beau sourire en retour.
Une ruelle pleine de bric à brac.
Un chariot sans son proprio.
Il y avait beaucoup de ces « acheteurs » qui vous reprennent vos bijoux en or au gramme ou au kilo.
Les sourires ne nous sont pas forcement adressés, là c’est sur le vif, entre eux.
Le genre de métier qui a disparu depuis bien longtemps dans nos contrées.
De retour sur l’avenue principale du quartier.
Vu la profusion de transport locaux ils poireautent pas mal de temps.
La montagne dans le fond est difficile à louper tant elle en impose.
Des écolières sortent de l’école.
La pauvreté est universelle…
Un rien les amuse, cette joie de vivre est plutôt communicative et ça fait du bien.
Malgré cette couche de fromage ces pâtes étaient relativement mauvaises car la sauce contenait trop d’eau et des fourmis en plus…
Passant récupérer nos bagages, une petite photo de l’accueil et de son proprio tout sourire.
